Una enorme metáfora IV

Las semanas pasan, pero uno no puede olvidarse de París así de fácil. Menos leyendo estas cosas.

O nuit! ô rafraîchissantes ténèbres! vous êtes pour moi le signal d'une fête intérieure, vous êtes la délivrance d'una angoisse! Dans la solitude des plaines, dans les labyrinthes pierreux d'une capitale, scintillement des étoiles, explosion des lanternes, vous êtes le feu d'artifice de la déesse Liberté! Crépuscule, comme vous êtes doux et tendre!

texto: fragmento de Le Spleen de Paris, Charles Baudelaire.
foto: Moi, sur le Seine.